Hum...
Personnellement, je verrais déjà un petit paradoxe caché dans la formulation du sujet, vu qu'en posant la question, on jette un doute sur la capacité de gagner quelque chose en travaillant. Il faudrait donc se demander pourquoi jeter un doute sur le lien entre travail et gain. Et d'ailleurs, si on pense au gain, on ne peut penser qu'à la perte, et c'est là que
Das Kapital fait la différence : Marx voit dans le travail une aliénation du prolétariat qui abandonne sa force de travail et les résultats de cette dernière pour le bénéfice des détenteurs du capital.
Ma problématique serait donc axée sur le conflit présent entre le travail comme objet de gain et le travail comme objet de perte.
D'un autre côté, peut-être faudrait-il s'attacher à parler du travail en soi pour préparer le terrain pour la dissection du conflit entre perte et gain.
(Oui, finalement, c'est proche de la fin de ton post, Tity.
)